Une récente étude publiée dans Nature: Human Behavior montre que Facebook participe, plus que n’importe quelle autre plateforme, à la diffusion des fausses nouvelles.
Les fake news génèrent plus de vues et de clics qu’une information «ordinaire», ce qui implique davantage de revenus pour les géants de l’information qui bénéficient ainsi de leur circulation accrue.
Les fausses nouvelles représentent une menace à une démocratie saine. Les citoyens ont accès à une profusion d’information, mais cet accès sans précédent peut compliquer la vérification des sources – et ce, peu importe le niveau de scolarité.
Que la tâche de départager le vrai du faux repose sur les épaules de l’usager ou de la plateforme, il n’en demeure pas moins que le phénomène de la mésinformation est déjà largement répandu, et Facebook est en partie responsable.