- Signal: plateforme de messagerie reconnue pour sa robustesse en matière de protection de la vie privée (site web).
- Session: logiciel dérivé de Signal, avec des mesures supplémentaires pour préserver l’anonymat (site web).
- Element (auparavant Riot): un écosystème d’échanges réactifs, seul ou en équipe (site web).
- Rocket.Chat: centre de communications basé sur des logiciels libres (site web).
- Tox: une application facile à utiliser qui met l’accent sur la protection de la vie privée (site web).
- Keybase: la cryptographie simplifiée (site web). Note: l’entreprise vient d’être acquise par Zoom.
- Keyoxide: une plateforme qui reprend la bonne idée de base de Keybase (preuves distribuées et clés PGP), mais en maintenant le projet libre, ouvert et décentralisé (site web). Le projet est encore jeune et s’adresse d’abord aux initiés.
- Mattermost: logiciel pour les discussions de groupes (solution alternative à Slack). Apprenez-en plus ou créez-vous une équipe avec l’instance Framateam.
- Matrix: un protocole de communication pour des logiciels comme Element.
- XMPP/Jabber: un protocole similaire au courriel, mais qui convient mieux à la discussion instantanée.
Et Telegram?
Telegram est l’un des services de messagerie instantée les plus populaires, ce qui en fait un choix alternatif intéressant si certain·e·s nos ami·e·s s’y trouvent déjà.
Cependant, Telegram reproduit certaines des caractéristiques prohibitives de Facebook Messenger, comme la centralisation des données entre les mains d’une compagnie privée. De plus, la sécurité laisse à désirer: les conversations ne sont pas encryptées par défaut, et lorsqu’elles le sont, Telegram utilise un protocole fait maison plutôt que les standards internationaux (dont la robustesse a été largement éprouvée).
Et WhatsApp?
Ce service appartient à Facebook; on l’évitera pour les mêmes raisons que Facebook Messenger.